LE
COTIELLA EN PHOTOS
Page
3 : Le vallon de Lavasar (le Cotiella à skis
de randonnée) Carte
générale
Diaporama
:
Le Cotiella à skis,
par le vallon de Lavasar et le col de Ribereta (itinéraire
sur la carte ci-contre)
avec, à la fin, des images prises des abords de l'Ibon de Plan et
de la cabane de Lavasar ;
par des membres du club de montagne "Les Cadets de Toulouse", le
2 mai 2008 ;
en
musique (Teleman, Scarlatti) ;
auteur
: Michel Chaplet
taille : 32,6 Mo (téléchargé en 2 min. avec une connexion de 2Mb/s).
Durée
: 5 min. 20
Pour
le télécharger :
cliquer
ici
Voir
aussi la page du site consacré au cirque de Barrosa
http://cirquedebarrosa/pagecourses.htm
)
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3.1
Les skieurs remontent le vallon de Lavasar, le matin,
au moment où le soleil commence à l'illuminer. Ils apercevoivent,
au fond, la Peña de La Una, à gauche, et les aiguilles
de Lavasar, à droite.
Le point de départ de cette
course de SKI DE RANDONNEE, consistant
à gravir le COTIELLA par le VALLON DE
LAVASAR et le COL DE RIBERETA (pour
ce nom, voir la
page
4),
est la cabane de Lavasar ou ses abords (voir
l'itinéraire dans le carnet
de courses, p. 41).
A partir de l'avant-dernier lacet de la piste, on suit un
large chemin dans
la forêt pour gagner le thalweg du
vallon de Lavasar.
Quitter alors ce chemin pour remonter le vallon et atteindre,
à son extrémité, par une pente assez raide mais brève,
un seuil (qu'on prend d'en-bas pour un col) entre la Peña de
La Una et les aiguilles de Lavasar.
Par ce seuil on accède au grand plateau de Ribereta
dont on doit traverser le fond pour monter, à l'ouest, par un mur
trés raide, au trés large col de Ribereta (pour
son franchissement, voir les photos de la page 4).
De ce col on descend, d'environ 200 m., dans la "Era
de las Brujas" (voir la photo 1.5 , et
une des photos
du site de Philippe Queinnec) pour remonter aussitôt sans difficulté
vers les abords de la Colladeta et accéder au sommet
par une longue pente régulière.
Il s'agit d'une trés belle course, mais assez longue.
Le dénivelé cumulé est de 1400 m. Elle ne comporte
pas de difficulté en dehors du versant est du col de Ribereta,
un "mur" d'environ 75 m. de haut, qu'on peut cependant monter
skis aux pieds si on s'y prend bien. Une petite corde est à prévoir
pour rassurer d'éventuels participants impressionnés par
la pente. Ce mur est tôt le matin exposé au soleil : la neige
n'est donc pas, en principe, gelée ; mais elle peut l'être
de l'autre côté, d'ailleurs moins raide.
Cette course est à programmer au début
du mois de mai : la piste est alors dénneigée assez
haut et on peut chausser les skis pas trop loin de la cabane.
3.2 Ici,
les skieurs vont entrer dans la partie supérieure du vallon de
Lavasar.
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3.3 La
Peña de La Una (2674 m) à gauche, et les aiguilles
de Lavasar (2493 m) à droite, encadrent ce qui n'est pas un
véritable col (il n'y a derrière qu'une trés brève
descente) mais un seuil (2380 m). C'est une sorte de créneau ou
de grand portail, donnant accés au grand et haut plateau qui s'étale
entre la crête où pointe la Peña de la Una et la barre
du col de Ribereta.
"Dans cette muraille s'ouvrent des sortes de larges
créneaux qui donnent accés dans les vallons supérieurs
et qui d'en bas ressemblent à des cols, de sorte que le Cotiella
peut se comparer à une citadelle" (Schrader).
3.4
Sous le seuil la montée s'annonce assez raide mais brève.
3.5 Début
de la montée vers le seuil.
3.6 Un
skieur dans la montée du ressaut.
Vue vers le nord sur le vallon de Lavasar.
Au loin on aperçoit le massif de la Punta Suelsa,
ensoleillé, en haut et à droite du cliché.
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3.7 Autre
vue, vers l'ouest, des aiguilles de Lavasar, au début du
mois de mai, le soir, au retour du Cotiella, avant la descente dans le
vallon de Lavasar (à droite). A gauche des aiguilles, le Movison
grande.
L'été,
quand on revient du Cotiella par cet itinéraire, on a intérêt
à contourner les aiguilles par la gauche, en passant par
le collet au centre du cliché, pour éviter les grands et
pénibles pierriers du vallon de Lavasar.
3.8 Les
aiguilles de Lavasar, vues vers le nord, au début de l'été,
sous un ciel d'orage. A droite, le contrefort de la Peña de
La Una, émergeant d'un immense pierrier : image typique du
Cotiella.
Au premier plan, la petite dépression fermée
(petite doline comme on en voit dans les pays calcaires), parfois occupée
par un petit lac
(voir - dans le site du CAF de Bagnères-de-Bigorre,
une belle photo
de ces aiguilles ;
- dans le
site Lacs des Pyrénées, une photo
du petit lac inconstant).
3.9 Vue
comparable des aiguilles de Lavasar, en été, sous
un éclairage différent, par beau temps.
Au fond, le massif des Puntas Suelsa et Fulsa.
3.10 Le
"seuil" de la vallée de Lavasar, qui donne accès
à sa partie haute, vu un soir d'été.
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